Une consommation évaluée et autorisée par les autorités de santé.
En 2015 après l’examen de 383 études disponibles, l’Anses a réaffirmé qu’il n’y a pas de lien identifié entre la consommation de sucralose et la survenue de risques (habituation au goût sucré chez l’adulte, survenue de diabète ou de cancer, influence sur les paramètres glycémiques…). D’autre part, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) dans un avis scientifique publié en 2017 ne met pas en évidence le lien entre sucralose et potentiel cancérigène au regard des niveaux d’utilisation actuels.